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pharmacie de garde
Pour connaitre la Pharmacie de Garde cliquez sur le lien animé ci dessous
Pourquoi sacrifier votre pharmacie au profit de la grande distribution ?
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distribution ?
La
pharmacie d’officine en France c’est :
1)
une équipe officinale qualifiée et de proximité partout en France, 24h/24 et
7j/7
2)
zéro contrefaçon, la sécurité sanitaire pour tous les patients
3)
les médicaments les moins chers d’Europe (excepté Royaume-Uni)
4)
la prévention, le dépistage, les livraisons à domicile, les conseils et premiers
soins gratuits.
Tout
cela pour un éventuel gain de 6* euros par personne, par an.
(*source : Les Echos du 4/09/2014)

BIENVENUE SUR PHARMA67
Sur ce site initié par la chambre syndicale des pharmaciens du Bas-Rhin, vous pouvez consulter :
-les pharmacies de garde dans le Bas-Rhin
-des informations pratiques pour les patients
Alain BOETSCH, Président
Syndicat des pharmaciens du Bas-Rhin
10 rue de Leicester
67000 STRASBOURG
tél.03.88.61.03.83
fax 03.88.41.15.29
mail syndicat.pharmaciens.67@wanadoo.fr
http://www.fspf.fr/

Nouvelles
Bonsoir,
1) Concernant le coronavirus, des précisions sur les conseils utiles et pratiques pour optimiser sa sécurité:
- comment ...

.
Lettre ouverte à Madame Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé
SERGE BAKCHINE Professeur de Neurologie, CMRR ...
La ministre de la Santé Agnès Buzyn a signé hier un
arrêté à effet immédiat rendant tous les médicaments contenant de la
codéine, du dextrométhorphane, de l'éthylmorphine ou de la noscapine
disponible uniquement sur ordonnance. ...
La liste des onze vaccins obligatoires
Actuellement, l’obligation concerne les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).
S’y
ajouteront ceux ...
En 20 ans, les médicaments génériques se sont installés dans la vie
quotidienne des Français : aujourd’hui, 8 Français sur 10 les utilisent
et 93% en sont satisfaits.
Cependant, l’information des professionnels de santé et des ...
coronavirus les conseils utiles

Bonsoir,
1) Concernant le coronavirus, des précisions sur les conseils utiles et pratiques pour optimiser sa sécurité:
- comment faire ses courses?
- que faire en rentrant des courses?
Virus Sars-CoV-2 : les règles à respecter au supermarché
Si vous pouvez toujours commander vos courses sur certains sites internet tel que Leclerc, Carrefour et d'autres, certains préfèrent se rendre eux-mêmes sur place. La prudence est de mise. En plus des gestes barrière comme se laver les mains très
fréquemment ou tousser dans le pli de son coude, il est essentiel de
prendre certaines précautions en cas de sortie au supermarché, à savoir :
- se rendre au supermarché aux heures les moins fréquentées
- amener son porte sac de course ou son propre caddie
- respecter une distance de sécurité d’au minimum 1,5 mètres avec les autres
- utiliser du gel hydro-alcoolique régulièrement
- ne pas toucher son visage avec ses mains
Quid du port des gants au supermarché ? Les experts ne recommandent pas forcément d’en porter. "Le
gant fonctionne comme une deuxième peau, si j’ai un contact avec le
virus, je vais garder mes gants jusqu’à ce que je les retire en arrivant
chez moi… Je vais disséminer le virus de la même façon que mains nues", explique Bruno Grandbastien, président de la Société française d’hygiène hospitalière, au Monde. Il en va de même avec les masques.
Si
ces accessoires vous rassurent, vous pouvez néanmoins les porter. Mais
ils ne dispensent pas des gestes d'hygiène et de sécurité précédemment
évoqués. Coronavirus : les précautions à prendre en rentrant des courses
Pour éviter l’éventuelle contamination de son intérieur en rentrant chez soi avec ses sacs de courses, il est recommandé de :
- poser ses courses au sol, et non pas sur le plan de travail de la cuisine ou sur la table de la salle à manger ;
- se laver minutieusement les mains avec de l’eau et du savon dès que l’on franchi le pas de la porte ;
- retirer tous les emballages non nécessaires et les jeter immédiatement ;
- désinfecter les emballages qu’il n’est pas possible de retirer comme les pots de yaourt par exemple ;
- rincer
minutieusement les aliments qui peuvent l’être, comme les fruits et les
légumes, car d'autres clients ont pu les toucher ;
- passer au four les aliments qui peuvent l’être comme le pain, car un "traitement thermique à 63°C pendant 4 min permet de diviser par 10 000 la contamination d’un produit alimentaire", peut-on lire sur le site de l’Anses.
La chaleur tue le virus, l’usage d’un sèche-cheveux sur des gants en tissus ou un masque ou le repassage peut tuer les virus .
Pensez dès que vous avez des symptômes rhino-pharyngés à faire une inhalation.
2) En complément , un article que tout le monde devrait lire: c'est très bien écrit etvraiment pertinent.http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html
BK ( source de Bernard KUBALA pharmacien faculté de Pharmacie Strasbourg)
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Génériques au Janvier 2020
Au sujet du déremboursement des médicaments anti-Alzheimer

Lettre ouverte à Madame Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé
SERGE BAKCHINE Professeur de Neurologie, CMRR Champagne-Ardenne.
Madame la Ministre,
C’est en tant que médecins spécialistes des maladies
neuro-dégénératives, notamment des maladies d’Alzheimer, de Parkinson et
maladies apparentées (comme la maladie à corps de Lewy), que nous vous
écrivons afin de vous exprimer notre désarroi devant votre décision de
procéder au déremboursement des médicaments symptomatiques de la maladie
d’Alzheimer. Nous sommes en premier lieu choqués par l’argumentaire
biaisé qui a conduit à cette décision. Notre communauté a toujours eu
conscience d’une efficacité limitée, quoique significative, de ces
médicaments, notion que nous nous sommes toujours fait un devoir de
communiquer aux personnes malades et à leurs familles. Il faut rappeler
toutefois que cette efficacité a été démontrée par des études
rigoureuses qui ont été validées selon les règles scientifiques en
vigueur par les agences régulatrices. Partout par le monde, les
spécialistes ont intégré ces traitements à leur pratique et les
considèrent comme sûrs et pertinents, en association à un ensemble de
mesures thérapeutiques non médicamenteuses. Ce contexte rend
incompréhensible l’allégation d’une nocivité et d’une dangerosité telles
que le rapport bénéfice risque ne pourrait plus être considéré comme
favorable. C’est pourtant l’argument que vous avez développé dans divers
médias à forte audience. Affirmer que des médicaments prescrits depuis
20 ans à bon escient à des centaines de milliers de personnes malades
sont dangereux devrait être fondé sur des preuves. Or, ni la littérature
scientifique, ni les signaux de pharmacovigilance européenne
n’apportent de preuve convergente de cette hypothétique dangerosité,
lorsque ces médicaments sont utilisés dans le respect des
contre-indications.
Nous avons été surpris et choqués par vos
propos, car si ces médicaments étaient réellement reconnus comme «
nocifs et dangereux », ou si vous disposez à ce sujet d’informations
précises inconnues des professionnels et des patients, ce n’est pas un
simple déremboursement qu’il convenait de mettre en œuvre, mais une
procédure de retrait du marché. Dans tous les cas, des propos alarmistes
tenus par une autorité telle que la vôtre sont de nature à susciter une
inquiétude infondée auprès des patients et leurs familles,
Nous
sommes aussi extrêmement surpris des propos tenus par des collègues qui
ont eu à juger de ce dossier au sein de la Commission de Transparence.
L’un d’entre eux vient de publier un ouvrage suggérant que la maladie
d’Alzheimer ne serait pas une maladie, mais une « construction sociale
». Les propos d’un autre étaient que « Ces médicaments sont bien sûr
inefficaces. Ils ont sûrement tué plus de patients qu’ils n’ont jamais
aidé la mémoire d’autres ». De telles postures génèrent légitimement de
très importantes réserves concernant l’impartialité de ces experts et
les conditions dans lesquelles ce dossier a été instruit par la HAS en
2016. Il convient de rappeler que tous les traitements que vous avez
déremboursés sont disponibles sous forme de génériques et que l’intérêt
de l’industrie pharmaceutique est désormais tourné vers le développement
de nouveaux médicaments à potentiel curatif pour la maladie. Notre
action vise simplement à maintenir un des maillons thérapeutiques
disponibles pour le bénéfice de nos concitoyens atteints de la maladie
d’Alzheimer et de certaines maladies apparentées, alors qu’il n’existe
actuellement pas d’autres médicaments disposant de l’Autorisation de
Mise sur le Marché.
Nous sommes également inquiets des répercussions
que cette décision va avoir sur l’adhésion des personnes malades et de
leurs familles au parcours de soins, et surtout sur sa précocité. Selon
votre communication, la mise en œuvre du déremboursement aurait été
retardée jusqu’à la publication par la HAS en mai 2018 d’un Guide
Parcours de Soins, modèle d’une prise en charge idéale. Ce guide ne fait
que rassembler une série de mesures que les Centres Mémoire et leurs
équipes ont élaborés et appliquent depuis des années. Il n’apportera
donc aucune solution nouvelle qui permettrait de compenser le retrait
des médicaments. Vous affirmez que le déremboursement n’est pas
justifié par un intérêt budgétaire et que l’argent dégagé par le recul
des prescriptions contribuera à améliorer le sort des personnes malades.
Nous pensons au contraire que votre décision va alourdir les dépenses
directes des patients déjà non couvertes par la solidarité nationale.
Ces dépenses sont directement proportionnelles à la sévérité de la
maladie et peuvent atteindre plusieurs centaines voire milliers d’euros
par mois et par patient. Le retrait de traitements qui contribuaient à
les minimiser aura un impact négatif, sans compter la charge
supplémentaire du coût des traitements pour ceux qui décideraient de les
poursuivre. Ces risques seront évidemment accrus pour nos concitoyens
les plus démunis, ce qui n’est pas admissible. Comme vous savez, le
National Institute for Health and Care Excellence (NICE), équivalent de
la HAS au Royaume Uni, qui a la réputation d’une rigueur extrême dans la
gestion de l’argent public, a conclu après avoir mené plusieurs études
indépendantes des laboratoires qu’il existe un rapport coût/bénéfice en
faveur des médicaments concernés, affirmation renouvelée en mai 2016.
Enfin, nous souhaitons attirer votre attention sur une retombée très
préoccupante de votre décision: il sera plus difficile, voire impossible
d’inclure des patients français dans des études internationales de
médicaments novateurs (curateurs ou symptomatiques) de la maladie
d’Alzheimer. Il est en effet souvent exigé que les patients participants
reçoivent de façon régulière l’un des médicaments reconnus au plan
international comme traitement de référence de la maladie, c’est à dire
précisément ceux que vous venez de dérembourser. Outre la perte de
chance pour nos patients de recevoir précocement un traitement pouvant
être plus efficace, c’est la recherche thérapeutique qui sera mise en
péril dans notre pays, Cette décision singulière du gouvernement
français commence à faire l’objet d’un questionnement au niveau européen
et même international, comme celui de l’Alzheimer Disease
International, qui s’inquiète de la décision de la France de ne pas
respecter un accès juste et équitable aux traitements anti-démentiels.
Madame la Ministre, depuis un an et demi, plusieurs groupements
professionnels et sociétés savantes ont réclamé l’annulation de la
procédure de révision des traitements symptomatiques de la Maladie
d’Alzheimer réalisée par la HAS en 2016 et avancée pour justifier votre
décision, du fait de la partialité de l’instruction et des débats.
Nous vous demandons donc solennellement et publiquement de revenir sur
cette décision qui dessert la prise en soins actuelle et future des
malades en étant susceptible d’altérer la confiance que portent les
patients, leurs familles et les professionnels dans les processus de
décision en matière de santé. Veuillez croire, Madame la Ministre, en notre respectueuse considération.
Article publié dans Le Figaro du 18 juin 2018
sur ordonnance (News)

La ministre de la Santé Agnès Buzyn a signé hier un
arrêté à effet immédiat rendant tous les médicaments contenant de la
codéine, du dextrométhorphane, de l'éthylmorphine ou de la noscapine
disponible uniquement sur ordonnance.
Néo-Codion, CodéDrill, Tussipax, Codoliprane, Claradol Codéiné, Humex
Toux Sèche dextrométhorphane… L'ensemble des médicaments contenant de
la codéine ou d'autres dérivés de l'opium est désormais sur prescription
obligatoire. La liste qui circule actuellement via le dossier
pharmaceutique, non exhaustive, comprend plus de 80 présentations. Tous
ces médicaments sont sur liste 1 (pour les spécialités contenant du
dextrométhorphane, de la noscapine, ainsi que les formes autres que le
sirop contenant de l'éthylmorphine ou de la codéine) ou sur liste 2 (les
sirops à base de codéine ou d'éthylmorphine). Les conditions
d’exonération à la réglementation des substances vénéneuses dont ces
médicaments bénéficiaient jusqu'alors si la quantité de principe actif
était inférieure à 30 mg sont donc supprimées. Aucune des spécialités
concernées n'était disponible en accès direct.
Concrètement, le pharmacien ne peut désormais plus délivrer ces
spécialités sans ordonnance et il n'est plus autorisé à en proposer la
vente sur son site Internet. Des restrictions de délivrance qui
devraient satisfaire l'Ordre des pharmaciens.
La décision d'Agnès Buzyn, prise en lien avec la Direction générale de la santé (DGS) et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) fait suite à l'identification de nombreux cas d'abus et d'usage
détournés de ces médicaments. Notamment la mode du « Purple Drank », un
cocktail à base de codéine, d'antihistaminique et de soda, en constante augmentation chez
les adolescents et les jeunes adultes depuis 2015, qui a provoqué deux
décès depuis le début de l'année. La Commission des stupéfiants et
psychotropes de l'ANSM a rendu, le 29 juin dernier, un avis favorable à
la prescription médicale obligatoire pour toutes ces spécialités
pharmaceutiques.

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11 Vaccins Obligatoires en 2018 (News)

La liste des onze vaccins obligatoires
Actuellement, l’obligation concerne les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).
S’y
ajouteront ceux contre l’haemophilius influenza B (bactérie provoquant
notamment des pneumopathies et des méningites), la coqueluche,
l’hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole, le méningocoque C
(bactérie provoquant des méningites) et le pneumocoque (bactérie
provoquant des pneumopathies et des méningites).
Vaccins obligatoires : ce qui va changer À partir de 2018, les enfants de
moins de deux ans devront être vaccinés contre onze maladies. Les
vaccins seront remboursés intégralement.
En 2018, les tout-petits devront obligatoirement être vaccinés
contre onze maladies. Aujourd’hui, l’obligation ne concerne que trois
vaccins, les huit autres étant seulement recommandés.
Qui est concerné ?
Les enfants de moins de deux ans sont concernés par l’extension de la vaccination obligatoire.
Combien d’injections ?
Passer de trois à onze
vaccins obligatoires représente 10 injections pour les enfants, étalées
sur deux ans. Au moins 70 % des enfants ont déjà ces 10 injections sur
deux ans, et 80 % plus d’injections, car ils font déjà les vaccins
recommandés.
Quand ?
La ministre prévoit un texte
précisant les modalités et le calendrier à la fin de l’année pour une
mise en place de l’obligation en 2018.
Combien ça va coûter ?
Les onze vaccins
seront pris en charge à 100 % : 65 % par la sécurité sociale, 35 % par
les complémentaires santé qui proposent un « contrat responsable ». La
ministre réfléchit aux modalités de prise en charge intégrale pour les
patients ne disposant pas de mutuelles. L’objectif est que le patient
n’ait rien à payer quelle que soit sa situation.
Le coût de
l’extension de la vaccination est estimé entre 10 et 20 millions d’euros
pour l’Assurance maladie, selon Agnès Buzyn, la ministre de la santé.
Quelles sanctions ?
Le non-respect de la
vaccination est passible de six mois d’emprisonnement et de 3750 euros
d’amende. « En France, ces sanctions ne sont quasiment jamais appliquées
» , observe la ministre, qui préfère des mesures de pédagogie à des
pénalités. Elle travaille à des mesures d’accompagnement pour convaincre
les familles de l’utilité de la vaccination. « Les vaccins sont des
produits sûrs. Ils peuvent parfois avoir des effets indésirables, mais
le risque est bien plus important à ne pas être vacciné. Nous n’avons
pas assez expliqué le bien-fondé de la vaccination, d’où la défiance que
l’on constate » , plaide Agnès Buzyn.
La liste peut-elle évoluer ?
Un rendez-vous
annuel sera organisé pour faire l’état de la vaccination en France. Ce
sera l’occasion de voir la progression de la couverture vaccinale mais
aussi de revoir éventuellement la liste des vaccins obligatoires.
(sources l'Alsace)
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Campagne Médicament générique


En 20 ans, les médicaments génériques se sont installés dans la vie
quotidienne des Français : aujourd’hui, 8 Français sur 10 les utilisent
et 93% en sont satisfaits.
Cependant, l’information des professionnels de santé et des patients
sur ces médicaments peut encore progresser : seuls 47% des patients, 64%
des médecins généralistes et 86% des pharmaciens savent par exemple
qu’il existe des médicaments génériques qui soignent le cancer.
La campagne d’information que lance aujourd’hui Marisol Touraine met à
la disposition des patients et des professionnels de santé des données
claires et précises sur l’efficacité, la qualité et la sécurité de ces
médicaments.
Son objectif : lever les derniers doutes et idées reçues
pour ancrer définitivement l’usage des médicaments génériques dans la
vie quotidienne des Français.
Cette campagne conforte par ailleurs leur
statut de médicament à part entière : un concentré d’expérience et
d’expertise, efficace et sûr, économique et citoyen.
Des outils de communication ludiques et pédagogiques ont ainsi été
développés autour d’une signature « Devenir générique ça se mérite » :
un spot TV diffusé sur les chaînes nationales du 27 septembre au 18 octobre
Lien pour "devenir générique ça se mérite"
Efficaces, sûrs et économiques, ils participent à la pérennité de
notre système de santé. 7 milliards d’euros en cinq ans : telles sont
les économies que nous avons réalisées grâce à eux. Des économies
réinvesties afin d’améliorer l’accès de tous à des traitements
innovants.
Aujourd’hui, il faut aller plus loin et lever les derniers freins à
l’usage de ces médicaments.
J’ai lancé en ce sens, en mars 2015, le Plan
national de promotion des médicaments génériques. Cette grande campagne
d’information est l’un des volets de ce plan.
Son objectif : renforcer
la confiance et les connaissances des Français, patients comme
professionnels de santé, en mettant à leur disposition une information
claire et précise.
Pour porter haut le message de cette campagne, chaque acteur de la
chaîne d’information doit en être le relais. Patients, prescripteurs,
pharmaciens, chacun doit s’engager pour répondre aux interrogations et
orienter celles et ceux qui auraient encore des questions, des doutes,
vers le site www.medicaments.gouv.fr.
Renforcer la confiance et les connaissances des Français, lever les
craintes qui persistent, valoriser le rôle des professionnels de santé
en tant que prescripteurs et assurer la pérennité financière de notre
système de santé, tels sont les enjeux de cette campagne qui doit tous
nous mobiliser.
une campagne digitale, comprenant notamment plusieurs vidéos pédagogiques sur les médicaments génériques (Comment sont-ils contrôlés ? Pourquoi les utiliser ?) diffusée sur les sites du ministère et de ses partenaires, ainsi que sur les réseaux sociaux à partir du 27 septembre
un espace d’information et d’échanges au service des professionnels de santé et du grand public : du 27
septembre au 25 novembre, les internautes pourront poser toutes leurs
questions sur les médicaments génériques à des experts
10 annonces illustrées,
déclinées autour des cinq thématiques de la campagne (l’antériorité,
l’efficacité-sécurité, la qualité, les enjeux économiques et sociétaux,
la pratique au quotidien) affichées dans les pharmacies et centres
commerciaux, et publiées dans la presse du 2 octobre au 27 novembre
des spots radio, donnant la parole à des experts et à des professionnels de santé, diffusés pendant trois semaines à partir du 22 octobre
des outils pour faciliter la pratique des professionnels de santé : 5 mémos pratiques ont été élaborés à partir de tables rondes réunissant des
professionnels de santé et patients organisées en région en partenariat
avec le Collège de la Médecine Générale (CMG)
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